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LA BIENVENUE

Bonjour. Prends une chaise. Des gâteaux. Et du lait. Mets un peu de musique. Tiens, voilà mon chat. Tu vois ici, c'est chez moi. Il fait un peu froid, le toit a des fuites, mais c'est chez moi, allez, je te fais la visite. Qui sait, tu pourrais finir par aimer l'endroit.

Je vends du rêve

Avant qu’il ne soit complètement trop tard (nous sommes déjà en octobre !), je vais vous parler de mes vacances.
Vous en parler ? Non, je suis bien trop fainéante. Je vais plutôt vous montrer des petites vidéos prises en vacances (bon, pas celle où on voit Rukya descendre un escalier interminable, ni celle où je chouine mes malheurs en Angleterre, quoique ce devait être les plus rigolotes…).

En normalement, vous comprendrez vite le soucis, avec ces vacances.

On commence avec la roulotte (que j’ai peinte moi-même peinte alors tu dis que c’est joli, oh !) :

Et là déjà, vous vous dites “mais ? la roulotte n’est pas finie ! et la roulotte est immense ! comment un cheval seul peut la tirer ?”. Oui, j’ajoute même “comment le peut-il dans l’état mental qui est le sien ?”. Voyez vous même :

Et moi, tristement effrayée par les chevaux (surtout celui-là quoi… On dirait qu’il a mangé un ours au petit-déjeuner), j’ai passé 5 jours derrière une barrière, regarder mes amis perdre la raison. La preuve :

(on est d’accord, on veut tous claquer la fille qui dit “qu’il faut faire peur au cheval”.)

Bon heureusement, après, j’ai retrouvé le plus beau coin du monde que j’ai filmé avec mes pieds.

Pour finir ce super post vidéo aussi décousu que je suis fatiguée, je clôturerais sur ma maison qui en voit de toutes les couleurs (parce qu’il faut pas déconner, pourries ou non, elles sont finies ces vacances) :

A la revoyure.

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I keep on trying

Il y a quelques années de ça, j’ai anticipé ce jour :
- Et si je rate en cinéma ? Et si je suis terriblement mauvaise ? Je ne peux pas me permettre de rater comme en musique. Je ne pourrais pas supporter d’être mauvaise dans toutes mes passions.

C’est toujours la même issue.

Le problème, quand on fait des études qui nous plaisent, c’est qu’en cas d’échec, ça fait terriblement plus mal à l’égo.

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Pauvre pomme, pauvre folle

J’essaye péniblement de survivre à la rentrée et à la grande bataille entre ma flemme et le travail à faire.

Je reviens vite.

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i love you more than your life

Fou Amour
Depuis longtemps, maintenant, l’amour est fou.
Il se moque bien de nous, l’amour est fou.
Il se jette sur nous, cet amour fou,
Il rit bien de nous, il nous frappe à la nuque,
L’amour est fou de violence,
Il nous transforme de sa folle puissance,
Pour que notre sang se teinte d’une autre couleur,
Et que plus jamais il se niche dans nos veines tranquilles,
Je vous le dis, attention, l’amour est fou.

Amour flou
Ambigu et amère,
Il t’en fera voir de toutes les couleurs
(Mais toi te n’en retiendra que le noir),
Sa perversité n’achèvera pas ton désir,
Et plus bouillantes encore seront tes pulsions,
De le sentir à tes côtés si ivre de sa malfaisance.
L’amour est violence,
Dans sa folie, il te fera croire que de vous deux, tu es le plus à plaindre,
Et bientôt tu seras responsable de tout,
De ta souffrance, de ton envie, de sa cruauté et de son indifférence
Fais bien attention s’il te plait car l’amour est violence.

Fout l’amour ! Fout l’amour !
Dans un coin sombre d’une ruelle,
Tape-lui dessus, vide ta colère !
Marche lui dessus,
Prends ta revanche !
Tu verras, tu verras, alors que tu l’aimeras,
Tu l’aimeras enfin comme il le faut,
Tu aimeras ça, faire souffrir l’Amour
Comme tous les jours il t’a fait souffrir.

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Ritournelle

Quand je vois le temps qui coule,
Inexorable,
J’aimerais lui dire d’arrêter,
«Arrête, arrête !
Mais enfin, qu’est-ce qu’il te prend !
Pourquoi tu ne prends pas un peu ton temps,
Pourquoi tu ne nous laisses pas vivre !
Arrête, mais arrête enfin !
Tu ne nous aides en rien,
Pars, pars, nous serions mieux sans toi,
Et sans tes idées sombres et tes humeurs,
Sans tes envies de grandeurs
Qui nous rendent tous perdants.»
Mais au lieu de ça,
Je reste coite,
Cloitrée dans le doux réconfort du silence,
Dans cette lâcheté qui m’immobilise.

Quand j’ai vu son emprise,
Je n’ai pu que sombrer,
Et pourtant, crois-moi, j’ai lutté,
J’ai essayé, pourtant, de vivre sans lui,
Mais il n’a rien voulu savoir,
Il est resté là, assis,
A détruire ma vie.

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« Plus tard.Retrospective. »

 

12.05 Entretien com Olivier de Serres
14.05 Entretien com Renoir
21.05 Entretien photo Renoir
22.05 Entretien com Boulogne
07.06 Résultats APB
08.06 Libération !

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No One Belongs Here More Than You // A La Recherche du Temps Perdu - Du côté de chez Swann (en cours) // Artemis Fowl 5 (en cours) 6 et 7

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